"Lorsque nous vous montrons des photos de victimes du napalm, vous fermez les yeux. Vous fermez les yeux devant les photos. Ensuite vous les fermerez à toute mémoire. Et puis vous fermerez les yeux aux faits". En pleine guerre du Vietnam, Farocki imagine une manière inédite de parler du napalm pour éveiller le spectateur. "Un des premiers films punk" (Harun Farocki).