"Durant trois cents jours, le cinéaste et ses opérateurs ont partagé la vie des marins. C’est un film d’homme sur d’autres hommes". Stylistiquement très marqué par l’influence soviétique et Eisenstein, le film de Fabiani, un cinéaste proche du parti communiste français, peut nous paraître aujourd’hui comique et stéréotypé. Il est néanmoins tout à fait caractéristique de la glorification du travail et de la machine chère à l’époque.