"Dans cet implacable réquisitoire contre la guerre, des images de misère et de détresse défilent sur la longue plainte du ’De profundis’ de Marcel Van Thienen. Éliminant sensiblerie et concessions, Vilardebo a fait de Vivre le plus atroce des souvenirs, où les cris sont étouffés par l’effrayant silence de l’image." Francis Porcile dans ’Défense du court métrage français’, 1965.